Faire une formation d'hôtellerie à Paris

Hôtellerie et restauration : un étudiant sur deux en apprentissage

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Le BTS hôtellerie-restauration demeure le meilleur bagage pour entrer dans la vie active. Il forme à la fois des responsables gestionnaires, des animateurs d’équipe et apporte des compétences techniques (cuisine, réception, approvisionnement…). Deux options sont proposées. L’option A (mercatique et gestion hôtelière) forme le personnel hôtelier. L’option B (art culinaire, art de la table et du service) est axée sur la technique culinaire, la présentation et la distribution en salle de restaurant. Accessible après un baccalauréat technologique hôtellerie, il reste cependant ouvert aux autres bacheliers, après une année de mise à niveau.
À savoir. L’université de Créteil propose un DEUST technicien de maintenance hôtelière, après un bac scientifique ou techno. Dans le secteur hôtellerie-restauration, un étudiant sur deux est en contrat d’apprentissage.

Formation en Hôtellerie

La formation des titulaires d’un bac en hôtellerie les conduit vers les métiers de la restauration et de l’hébergement, qu’il s’agisse de tourisme ou d’équipements collectifs. En effet, beaucoup se dirigent vers le BTS d’hôtellerie-restauration (1 352 entrants en 1999). Deux options : mercatique et gestion hôtelière ; art culinaire, arts de la table et du service. Enfin, quelques titulaires de ce bac tentent le BTS de tourisme-loisirs. D’autres suivent une formation complémentaire pendant un an pour affiner leurs connaissances.

Techniques de la musique et de la danse

Plusieurs possibilités pour les “ apprentis ” danseurs et musiciens : ils peuvent rejoindre l’université en intégrant un des DEUG artistiques, mention musique ou arts du spectacle, option danse (préparéà Paris VIII). Ils peuvent aussi tenter le conservatoire, mais la sélection est rude. Outre le conservatoire national supérieur de Paris, les conservatoires nationaux de région et les écoles nationales de musique offrent également des formations aux mêmes métiers. Pistes à ne pas négliger : l’enseignement artistique et l’animation culturelle.